La Galice jusqu'à l'hallali
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Dzimi vagabonde en Serbie, avec pour seul objectif de ne pas travailler. Il se présente à un concours de jeunes chanteurs mais échoue pitoyablement. Le film est devenu culte à sa reprise en 1990 car très ancré dans la réalité de la Yougoslavie au moment du prétendu boom économique qui consistait à industrialiser les zones rurales sans rime ni raison avec de généreux capitaux étrangers. Le film est cahoteux et nihiliste se moquant allègrement de l'armée, du pouvoir et même des masses populaires. La rébellion du héros est pathétique illustrant un sentiment de no future qui accompagnait la génération yougoslave de ces années-là.
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Créée
le 22 déc. 2016
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