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Poétique grace à la photographie et des pouvements de caméra novateurs et impressionnants de Georges Perial ( le 360 degrés du début), des décors de Lazare Meerson, mais surtout de la musique de...
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le 24 juin 2022
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Quatorze Juillet par Mamzelle_Jeanne
Paris, années 30, un 13 juillet, on pavoise, on accroche guirlandes et lampions : le bal du lendemain se prépare dans un quartier populaire.
Ce soir-là, après un premier bal et beaucoup de chamailleries et atermoiements, Jean le chauffeur de taxi et Anna la fleuriste finiront par s'embrasser, dans l'encoignure d'une porte cochère, à l'abri de l'averse qui mouille les pavés.
Rendez-vous est pris pour le bal du lendemain. Mais l'ancienne maîtresse de Jean, archétype de la garce brune, viendra bouleverser leurs plans, en débarquant dans la chambre de Jean...
Si l'histoire d'amour (un peu mélo, surjouée dans les dialogues) ne m'a guère convaincue, j'ai apprécié l'ambiance de ce Paris d'autrefois, et la kyrielle de personnages secondaires, comiques pour la plupart : les concierges et commères, le comptable grincheux et sa famille offusqués par les baisers dans la rue, l'autre chauffeur de taxi, et surtout le bourgeois qu'il trimballe, en frac et haut-de-forme, ivre la plupart du temps.
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le 26 juil. 2018
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Critique de Quatorze Juillet par inspecteurmorvandieu
L'amour sous les toits de Paris, dans les mansardes ou sous les portes cochères, parmi les lampions et la musique de rue; le sujet baigne dans un univers poético-populaire si caractéristique de...
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