Clovis Cornillac est un peu le Nicolas Cage français, un acteur génial capable de jouer dans les films les plus nazes en s'investissant comme si c'était du Kubrick.
Mais non, réveille-toi Clovis, tu joues encore dans une merde.
Accessoirement, quand on veut faire un film sur les animateurs de radio et les comiques, la moindre des choses devrait être de soigner ses dialogues. En l'absence d'originalité et de créativité, les scénaristes font du remplissage à coup de gags clichés,de stéréotypes usés, et de démagogie pompeuse (par exemple la première chronique du héros, qui, d'ailleurs, est la seule qu'il se soient fatigués à écrire).