Alors Raiponce, c'est une jolie fable (Comprendre "avec beaucoup de rose, des gentils trop gentils, et des méchants trop méchants !"), mignonne (Coconne tout plein en fait), et franchement marrante (Rien à ajouter pour le coup... C'aurait pourtant pu donner un effet de style des plus appréciables, hein ?).
Mais plus que ça, c'est surtout un agrégat joyeusement bigarré de situations stéréotypées qu'on aurait toutes condensées dans un même film, en raccommodant, plus ou moins bien il faut le dire, les extrémités.
Oh et puis merde. C'est surtout ça que m'inspire Raiponce.
Une grosse envie de dire "Oh et puis merde."
Un "Oh et puis merde." royalement destiné aux aficionados un peu snobs du "vrai" 7ème art.
Avec Raiponce, j'ai retrouvé le plaisir, de plus en plus fréquent d'autre part, d'être ému au cinéma... D'être touché par cette histoire mignonnette, malgré son côté enfantin plus que prononcé - qui lui coûtera par ailleurs les points que je lui enlèverai.
Courez-y, et laissez vos grands airs au placard pendant une heure trente... Par contre, les chansons sont nulles.
(Oui, les goûts et les couleurs, je sais...)
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