Un flic (shérif) d’un petite ville un peu trop zélé s’en prend à un vagabond. Bien mal lui en a prit, ce n’est pas un simple vagabond. Sur un fond de défaites de la guerre du Vietnam, le vagabond est la machine de guerre ultra performante John Rambo qui se retrouve perdu dans un monde civile qui le rejette, comme ce fut le cas pour beaucoup de soldat de retour de cette guerre inutile comme la plus part des guerres qui servent uniquement les intérêts que de quelques dirigeants et personnes très riche…
D’ailleurs à l’époque de la guerre du Vietnam, l’opinion publique voulait que cette guerre inutile ayant fait beaucoup de mort civiles vietnamiens et causée la mort de beaucoup de jeunes soldats américain cesse et il est à remarquer actuellement que l’opinion publique n’est plus contre les guerres, puisque qu’il lui est dit que ce ne sont plus des guerres (de pillage), mais des luttes contre le terrorisme, mais c’est pourtant ces guerres contre le terrorisme qui fabriquent le terrorisme...
Ce film fait plaisir car il permet de rendre la monnaie de leur pièce aux puissants qui s’en prennent aux plus faible car ils se croient intouchable.
Hélas la réalité c’est encore des gilets jaune massacrés par les forces de l’ordre soutenu par le gouvernement, des policiers américains tueur de personnes noire soutenu par leur président, soit les plus faibles s’en prennent encore et toujours plein la gueule.
Rambo first blood, un peu de justice pour les victimes des puissants et les victimes des guerres. Hélas les suites ne seront pas aussi recherchées, juste des combats contre les ‘’méchants jaune rouge communiste niawké’’ pour récupérer des soldats toujours prisonnier, sujet déjà vu et revu et traité ici de façon très très basique qui n’apporte rien de plus.