J'ai découvert Rambo il y a 4 ans seulement, et j'en avais eu une très mauvaise lecture.
Quelqu'un qui avait aimé le film m'avait parlé plus en profondeur des traumatismes liés à la guerre, et m'avait demandé d'y laisser une nouvelle chance un de ces jours en prenant cela en compte.
Pour rester un peu dans mon sens, faut capter la souffrance interne du personnage en 2 ou 3 flashbacks de 5 secondes, présents dans le premier quart d'heure, pour ne pas décrocher du foutoir qui suit, qui quand bien même, est d'une exagération limite effarante.
Le monologue finale est bien sûr intéressant, mais explique-t-il la démesure des actes de Rambo ? De la police ? De la garde nationale ? Tous ces enfants autistes qui ne voit pas plus loin que le bout de leur nez ?
Mais si c'est bien ça le concept du film, critique socio-mon vié par le grotesque, dont prendra la tangente Robocop d'ailleurs, c'est beaucoup trop malin pour moi.
Bref je vais rester sur les basiques de mon ressenti du moment, c'est passé vite et c'était amusant cette fois-ci.