Spielberg revient à la science-fiction pour un résulta ambitieux et créatif

Pour commencer, l’affiche est juste géniale !^^ C’est un jolie hommage aux affiches de Drew Struzan, célèbre affichiste qui à fait les affiches, des Goonies, de la trilogie Retour vers le Futur, et beaucoup d’autres. Une magnifique affiche style old-school que je vais me procurer, c’est sur !


Après se détaille que j’ai apprécié, voici mon point de vue sur le film et son contenu.


Pour jouer dans L’OASIS, chaque joueur doit avoir un visiocasque, des dispositifs haptiques : des gants et des combinaison qui permettent de ressentir les sensations simulé dans le système.


Le scénario reprend les grand lignes du roman :


la quête de l’œuf, l’implication de IOI, le final, ect. Malgré tout, comme toutes adaptations, il y a des choses manquantes, des rajouts ou des modifications, notamment les quêtes. Personnellement, sa ne m’a pas gêné. De plus, ses éléments sont bien intégrés dans le film. Le film contient une facilité scénaristique : Les 5 héros du film se rencontrent dans la même ville. Alors que dans le roman, Aech et Wade se rencontrais quand ils devais s’enfuir de leur habitation respectif, pour évité que IOI les retrouvent. Ils prenais l’avion, Art3mis, Daito et Sho également, pour aller en Oregon, puis ils se rencontré tous après que Parzival est obtenu l’oeuf de pâques.


Les quêtes :


Première quête :


C’est une course que le joueur doit remporter pour obtenir la clé de cuivre.


Deuxième quête :


Un clin d’œil à Stanley Kubrick est présent, plus un élément important de la vie d’Halliday. Il faut remplir ses taches pour obtenir la clé de de jade.


Troisième quête :


Joué à un jeu et découvrir l’easter egg caché. Pour obtenir la clé de cristal.


L’intrigue se suit avec plaisir, on essaye nous aussi de trouver un sens aux énigmes laissé par Haliday. Et on veut aussi se battre contre IOI, cette industrie qui veux contrôler L’OASIS et la rendre moins libre et plus difficile d’accès. Les références aux années 70, 80 et 90 ont leurs importances dans le film. Je vous laisse découvrir ce qui se passe avec elles.


Les personnages sont bien développé et attachant, particulièrement Wade, qui narre l’histoire. Chaque personnage à des émotions authentiques qui les rendent crédible. Et on identifie facilement les gentils et les méchants, au vu du script, bien sur. Mais aussi des émotions. J’ai bien aimé la relation complexe entre


Wade et Art3mis. Ils ne ceux connaissent pas, mais Wade tombe amoureux d’elle. Ils sont accompagnés par d’autres avatars qui vont les aidés, Aech, meilleur ami de Wade dans L’OASIS, Daito et Sho.


Les acteurs principaux (Tye Sheridan, Olivia Cooke, Lena Waithe,Win Morisaki, Philip Zhao) jouent très bien, ils sont naturelles et authentiques dans leurs émotions.


La photographie du film est très intéressant. Le monde réelle à des couleurs grisâtre et moins défini. L’OASIS de son coté à des couleurs plus détaillé et clair. J’aime beaucoup cette opposition. Avec cette idée, on comprend mieux pourquoi les gens préfère aller dans l’OASIS.


La réalisation suit notre héros dans son périple aussi bien dans le monde réelle que dans le monde virtuel. D’ailleurs dans les plans réelles la caméra est bien placé. Mais elle excelle dans le monde virtuel où Spielberg utilise son talent pour immerger le spectateur dans cette univers. Valeurs de plans respecté, plans séquence exceptionnelle, vue subjectif bien utilisé. Le montage alterne fréquemment les deux mondes pour les distingué.


Les effets spéciaux sont vraiment époustouflant et très créatif, entre les designs des avatars, des univers, les références mobiles, ect. Franchement, c’est le pied total^^


La bande original est très bonne. Des sonorité électroniques et épiques sont utilisé, ce qui colle parfaitement au film. Cette B.O. est signé Alan Silvestri, connu pour son travaille chez le réalisateur Robert Zemeckis (Retour vers le Futur, Forrest Gump, Beowulf). J’achèterais la composition sur format CD. Des chansons sont utilisé, j’aime beaucoup : Just My Imagination, Stayin’ Alive et Pure Imagination.


Le film aborde


le réchauffement climatique en arrière plan, la solitude. Mais il contient une magnifique morale à la fin, sur l’importance du monde réelle. L’individualisme est important dans cette œuvre. Autre chose que j’ai adoré, il ne faut pas jugé quelqu’un par sa difformé, sa taille, son sexe, son origine ou sa couleur de peau, non il faut prendre en compte sa personnalité et ses goûts. Je trouve que c’est aborder avec finesse et talent. ????


Cette œuvre fut un coup de cœur ! J’ai ressentis beaucoup de bien avec ce film et plusieurs années après Scott Pilgrim, nous avons enfin un nouveau film influencé par la culture geek et pop, qui crée un nouvelle univers grâce à ses influences. Je me suis identifié à cette culture que j’apprécie et qui fait partie de ma personnalité, ce qui me rapproche du créateur de L’OASIS, James Halliday.


J’ai vu le film en 3D, c’est très bien fait. Elle nous immerge dans le film et fait ressortir des éléments pour les suggérés et renforcé leur importance dans le script. Les meilleurs scènes avec la 3D : La première fois que l’on accompagne Wade dans L’OASIS, et le moment où Anorak, l’avatar de James Halliday, montre les trois clefs à Wade.


Un film ambitieux et créatif que je vous recommande ! Merci Spielberg pour ce film. <3

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le 14 mai 2018

Critique lue 335 fois

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Tigroux56

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