Dis donc vous là !? Oui, vous : @drélium, @Kenshin, @Takeshi29, @guyness, @Jackal, @TotoroM, @zombiraptor, @RKM, @Cmd,@Khamsou, @Pravda, @Camden, @Julius, @S_Plissken, @Citizen-Ced, @MrsChan, @Vaultboy,@0eil, @Delfiris, @Hélènek, @Melly, @Gros-Sam, @Dav-Funk, @smerinthe, @Lasagne et @Mayku, qu’est ce que c’est qu’ces notes ?
Hein ?
QU’EST CE QUE C’EST QU’CES NOTES ?
Et me sortez pas des salades sur une bouteille de lait, hein.*
Non mais on a vu le même film ou c’est moi qui ai écopé d’une version Asylum Productions?
Point par point on a quoi ?
Une peinture de l’Écosse ? Eh bien si on a pas envie de s’emmerder avec l’exactitude historique y a toujours Braveheart… ou les flashbacks de Highlander.
Une illustration du monde celte et de son folkore ? Foutre ! Mais pourquoi pas Asterix les gars ? Ou Kaamelot ?
L’aspect technique ? Ah ouais trop bien la touffasse rousse ; mais si j’ai envie de voir une fausse touffasse rousse à 10 puissance 72 millards de polygones qui bouge comme qu’on dirait une vraie en faux, je me commande une photo dédicacée de Marlène Jobert.
L’aspect artistique ? Euh… Pixar n’a cœur que de vous enchanter —comme Disney, bien sûr. (Jeu de mots inside).
La morale ? Mettre plus de baffes à ses ados c’est ça ?
Il n’y a donc pas que Disney qui coule.
Je vais peut être passer pour un inculte ou un vieux con mais pour moi, plus que Toys Story dont je trouve le culte autour un poil surfait, la valeur étalon de chez Pixar reste et restera encore longtemps, j’en ai peur, les Indestructibles. D’ailleurs, à l’époque, les cheveux et leur animation si photoréaliste constituaient encore une prouesse technique.
Les moments de bravoure visuelles et de mise en scène abondaient ; au delà de la référence au genre du super héros on avait cet hommage absolument délectable —et réussi— aux James Bond, le rythme était parfaitement géré, les personnages savaient sortir de leur gond, la musique était au diapason.
Non mais là j’t’en foutrai de la maman ours casse couille et des trois lardons à tarter, de l’ado égoïste et de la caricature grossière de trois pauvres clans (dont un du nom de Macintosh —cro rigolo) et de la musique celto-pop à Corrs aux pied de la lettre.
La texture, le mouvement, la troidé c’est bien beau ; mais le relief dans tout ça ?
L’ironie, à part que l’héroïne rousse est sans âme, c’est que cette mal bouffe animée s’est sûrement retrouvée déclinée en produits dérivés chez Mac Donald.
* http://youtu.be/RNB7T_0hHtE