Un Vogel de bois
Inspiré de l'ouvrage d'un Faulkner payant son dû à Mark Twain, un charmant récit initiatique au début du siècle, entre un vieux fond de western et la civilisation naissante. Avant de faire d'une...
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le 24 juin 2011
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Inspiré de l'ouvrage d'un Faulkner payant son dû à Mark Twain, un charmant récit initiatique au début du siècle, entre un vieux fond de western et la civilisation naissante.
Avant de faire d'une bande de gamins des cow-boys aux ordres de John Wayne, Mark Rydell propose déjà un scénario de rêve pour les gosses ; partir en goguette quatre jours quand on a 11 ans avec Steve McQueen comme meilleur pote et tout ce qui en découle...
Il y a un petit côté ravissant dans cette balade en voiture, les décors sont assez réussis, et puis, qui n'a jamais rêvé de passer quelque jours dans un bordel entre Steve et Sharon Farrell jeune ?
Dommage qu'une ou deux scènes plus glauques viennent détonner dans un ensemble beaucoup plus frais. Dommage aussi que Steve ne soit pas au meilleur de sa forme. Dommage surtout que le gamin soit typiquement le genre de gosse pénible dans les films : un rouquin trop sérieux avec des tâches de rousseur, et un Mitch Vogel pas particulièrement charismatique...
Mais bon, je suis trop fatigué pour être méchant avec ce film donc, je pardonne beaucoup.
Cet utilisateur l'a également ajouté à ses listes Top 15 Films de Lupanar, Top 15 Films avec Dub Taylor et Top 15 Films avec Terence Steven MacQueen
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le 24 juin 2011
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