Resident Evil : Extinction par Florian Bodin
Le premier était plutôt sympa et arrivait à poser une ambiance de laboratoire bien foutue, et puis il y avait ce thème que j'aimais beaucoup. Ensuite le deux est arrivé et à essayé de suivre tant bien que mal la fin du premier en nous ramenant Jill Valentine dans le délire et nous servant de l'action bidesque sans charme à part quelques séquences sympas.
Puis le troisième est arrivé et je dois avouer que j'ai été très surpris.
Même si Russel Mulcahy n'est pas un réalisateur de génie, il à le mérite de savoir poser une ambiance et là il faut dire que c'est le cas. Déjà, rien qu'en retrouvant le thème musical du premier, on est content, car il avait une certain charme qui collait vraiment bien au film, et même si il nous le ressert 15 fois, c'est plaisant.
Mais là ou le deux c'est complètement viandé en ne proposant que de l'action et un scénario aux fraises, celui-ci à décidé de mêler Umbrella et scènes d'action bien bad-ass !
Corbeaux qui déchiquettent, têtes explosées, coupées, éviscérations et autres choses bien jouissives sont là pour notre plus grand plaisir. Sans oublier les chiens qui comme dans le premier sont crevés avec style. On suivra donc la majorité des héros du deuxième volet et Alice tandis qu'Umbrella continuera ses sombres expériences afin de toujours aller plus loin dans le développement du virus T.
Alors même si ça va pas très loin , même si ça ne correspond en rien aux jeux, on s'en contre-fout. On prend son pied, on souris à la vue des hordes de zombies démontés et on suis l'histoire initiée par le premier volet. Et puis Resident Evil ça n'a jamais été de grands jeux selon moi alors bon.