Always the bun
L’Angleterre, c’est ma dope : la bouffe, la politesse, la bière, les maisons alignées, l’uniforme à l’école, les jokes fines et potaches à la fois, les saucisses aux oeufs au petit déj, les claviers...
Par
le 4 avr. 2017
11 j'aime
Chouette film d'époque.
Je vois qu'ils en ont tiré une mini série de 4h, non merci. Et je ne serais pas étonné si des producteurs réadaptaient à nouveau ce récit sous forme de série, on sent qu'ils pourraient facilement étirer chaque sous-intrigue, développer davantage chaque famille pour faire un truc à la game of thrones ou je sais pas quoi... et ce serait tellement triste. Parce que ce film de 2h20 tient tellement bien la route, ne digressant jamais inutilement, posant bien les enjeux, dénouant les conflits avec justesse et exploitant intelligemment chaque personnage. C'est un très beau travail d'écriture que ce film, tant au niveau des situations, des personnages que des dialogues.
La mise en scène est efficace : un découpage sobre et posé, intelligent et réfléchi ; le montage est bien rythmé, posé également, mais ne présent jamais de longueurs inutiles. Les acteurs délivrent de solides performances, l'on appréciera les manières d'un Hopkins excellent. La reconstitution est généreuse, élégante, agréable.
Bref, chouette film.
Créée
le 19 nov. 2024
Critique lue 15 fois
3 j'aime
D'autres avis sur Retour à Howards End
L’Angleterre, c’est ma dope : la bouffe, la politesse, la bière, les maisons alignées, l’uniforme à l’école, les jokes fines et potaches à la fois, les saucisses aux oeufs au petit déj, les claviers...
Par
le 4 avr. 2017
11 j'aime
Complexité de l'histoire ici narrée (les états d'âme de la bourgeoisie anglaise à un moment de basculement de la société britannique toute entière), perfection de l'interprétation (entre Anthony...
Par
le 18 févr. 2016
7 j'aime
2
C'est un retour, aussi. Dans les années 90, j'ai eu ma crise mystico-Ivorienne qui m'a passé subitement (je ne me souviens plus pourquoi, probablement un film que je n'ai pas digéré). Puis j'ai vu au...
Par
le 8 janv. 2025
4 j'aime
3
Du même critique
Quand je me lance dans un film de plus de 2h20 sans compter le générique de fin, je crains de subir le syndrome de Stockholm cinématographique. En effet, lorsqu'un réalisateur retient en otage son...
Par
le 3 janv. 2016
122 j'aime
35
Quand j'étais gosse, je me souviens que je tombais souvent sur l'émission. Enfin au moins une fois par semaine. Sauf que j'étais p'tit et je m'imaginais une série de docu chiants et misérabilistes...
Par
le 22 févr. 2014
122 j'aime
45
La première fois que j'ai vu ce film, j'avais 17ans et je n'avais pas accroché. C'était trop lent et surtout j'étais déçu que le mowhak de Travis n'apparaisse que 10 mn avant la fin. J'avoue...
Par
le 16 janv. 2011
109 j'aime
55