La qualité graphique de ce film ne revête aucune espèce d'importance du moment que l'on est en mesure d'apprécier celle des dialogues et le portrait passionnant d'un des plus grand génie que l'humanité ait porté: John Wilmot, deuxième compte de Rochester.
Johny Depp incarne donc ce libre penseur, libertin de l'age d'or et si l'on est pas capable de se rendre compte à quel point son jeu correspond parfaitement au personnage historique, si l'on est pas séduit après avoir entendu le prologue qu'il nous offre durant les deux premières minutes du film, je vois en fait mal comment on peux prétendre pouvoir poster des critiques d'un quelconque intérêt, sinon celui de la description des pixels de son ordinateur( qui n'en a aucun), et je doute que l'on puisse dire que la vie des grand artistes n'est pas compatible avec une adaptation cinématographique.