L'audace de Gabriel Mascaro, auteur du très beau Ventos de agosto sorti cet été, est trop affichée pour convaincre. Si le film est très travaillé formellement, les intentions de son auteur ne sont pas claires. Entre personnages impossibles et scènes gratuites (principalement sexuelles), le second long métrage du cinéaste brésilien déçoit.

pierreAfeu
5
Écrit par

Cet utilisateur l'a également ajouté à sa liste 2016 • Film par film

Créée

le 2 déc. 2015

Critique lue 321 fois

2 commentaires

pierreAfeu

Écrit par

Critique lue 321 fois

2

D'autres avis sur Rodéo

Rodéo
Moulines_Vincent
3

juste pourquoi ?

vendredi soir je me suis dit tient "et si j'allais voir le dernier Dolan ?" pas de chance c'était complet j'ai donc du me rabbatre sur rodéo. J'avoue je pense ne pas avoir compris ce film tant je...

le 24 sept. 2016

2 j'aime

Rodéo
Nicolas_Gilson
8

Critique de Rodéo par Nicolas Gilson

Western hypnotique, BOI NEON de Gabriel Mascaro est une fable sublime, sexuelle et sensuelle qui se joue des codes du et des genres – qu’ils soient ou non cinématographiques. Un film prodigieux,...

le 23 juil. 2016

1 j'aime

1

Rodéo
Cinephile-doux
6

Bienvenue au nordeste

Gabriel Mascaro est né à Recife, tout comme Kleber Mendonça Filho, le plus grand espoir du cinéma brésilien (Aquarius). Après plusieurs documentaires, Rodéo est sa première fiction et il n'est pas...

le 9 déc. 2016

Du même critique

Nocturama
pierreAfeu
4

The bling ring

La première partie est une chorégraphie muette, un ballet de croisements et de trajectoires, d'attentes, de placements. C'est brillant, habilement construit, presque abstrait. Puis les personnages se...

le 7 sept. 2016

51 j'aime

7

L'Inconnu du lac
pierreAfeu
9

Critique de L'Inconnu du lac par pierreAfeu

On mesure la richesse d'un film à sa manière de vivre en nous et d'y créer des résonances. D'apparence limpide, évident et simple comme la nature qui l'abrite, L'inconnu du lac se révèle beaucoup...

le 5 juin 2013

51 j'aime

16

La Crème de la crème
pierreAfeu
1

La gerbe de la gerbe

Le malaise est là dès les premières séquences. Et ce n'est pas parce que tous les personnages sont des connards. Ça, on le savait à l'avance. Des films sur des connards, on en a vus, des moyens, des...

le 14 avr. 2014

41 j'aime

21