Durant le gala de retour des militaires, un soldat américain de la 2ème guerre mondiale de retour au pays tue son ex-compagne et son amant parce qu’elle n’a pas su l’attendre. 30 ans plus tard, le même lieu de fête sert à une cérémonie de remise de diplômes, mais le tueur nostalgique récidive en la transformant en tuerie, va-ton comprendre pourquoi.
Acteurs insipides, enchainement de scènes affligeantes de grand n’importe quoi, absences de raisons et de mobiles, jeune héros goalé comme une crevette, affublé d’une moumoute Playmobil, déguisé en shérif hilarant de maladresse et d’aveuglement, filles qui criaillent à qui mieux-mieux, caricatures prévisibles de personnages, héroïne nunuche et agitée, même il y a 35 ans ce nanar devait déjà être long, mou, ennuyeux et inepte. Ca s’est vendu 20 francs un machin pareil ?
Ce mémorable navet m’a fait tenir jusqu’au bout grâce aux fous rires qu’il m’a heureusement suscité dans ce voyage au bout de la navrance.