- pourquoi faire un si long et prévisible préambule ?
- pourquoi un film si lent, figé dans lequel on ne peut pas « entrer »
- pourquoi, comme dans de très nombreux films, notamment français, les dialogues, réponses et questions lors du procès, la réalisatrice fait « réciter » le texte sans la moindre hésitation. Pas un « euh », un soupir, une seconde de doute sur ce que l’acteur va dire à la phrase suivante. Qui parle ainsi dans la réalité ??
On croirait la lecture d’une lettre.
Le plus fort et exemplaire l’accusée qui débite son texte complexe (un moment elle respire un peu entre deux mots et trouve quand même le moyen de récupérer le « t » du mot d’avant pour bien faire la liaison). Et non ce n’est pas pour insister sur le français impeccable et la froideur du personnage, c’est récurrent et cela rend ces films insipides et très ennuyeux. Le documentaire Mères à perpétuité lui est fort et présente des cas variés.