Mortelle corruption
Après avoir livré la trilogie du milieu où il s’intéressait à des petites mains de la mafia, Fernando Di Leo déplace son regard sur celui de la police. Avec un positionnement qui, d’emblée, s’éloigne...
il y a 6 jours
3 j'aime
Cet utilisateur l'a également ajouté à ses listes L'ours, Homo Video, en 2014, Les cycles de l'ours : Fernando Di Leo et Les cycles de l'ours : Le poliziesco
Créée
le 19 nov. 2014
Critique lue 551 fois
6 j'aime
D'autres avis sur Salut les pourris
Après avoir livré la trilogie du milieu où il s’intéressait à des petites mains de la mafia, Fernando Di Leo déplace son regard sur celui de la police. Avec un positionnement qui, d’emblée, s’éloigne...
il y a 6 jours
3 j'aime
En 1974, Fernando Di Leo sortait tout juste de sa trilogie du milieu, qui s'était conclue avec le violent et nihiliste "Il Boss". Le réalisateur ne s'assagit aucunement avec "Il poliziotto è...
Par
le 30 nov. 2024
2 j'aime
Une grande partie de la production cinématographique italienne des années 70 demeure injustement méconnue (ou ignorée) par la critique française. S'il est vrai que le cinéma transalpin a pondu nombre...
Par
le 21 juil. 2014
2 j'aime
Du même critique
J’avais pourtant envie de la caresser dans le sens du poil cette mule prometteuse, dernier destrier en date du blondinet virtuose de la gâchette qui a su, au fil de sa carrière, prouver qu’il était...
Par
le 26 janv. 2019
83 j'aime
4
Tour à tour hypnotique et laborieux, Under the skin est un film qui exige de son spectateur un abandon total, un laisser-aller à l’expérience qui implique de ne pas perdre son temps à chercher...
Par
le 7 déc. 2014
74 j'aime
17
Exploiter l’adversité que réserve dame nature aux intrépides aventuriers pensant amadouer le sol de contrées qui leur sont inhospitalières, pour construire l’attachement réciproque qui se construit...
Par
le 14 déc. 2014
58 j'aime
8