Chronique d’une mort annoncée
Pauvre Gad, il s’est brulé les ailes à la lumière du showbizz et son talent s’en est allé.
Dommage il avait du potentiel et ses deux premiers one-man tenaient plutôt la route mais là faut pas prendre « ..les enfants du bon dieu pour des canards sauvages ».
Une prestation sans âme, de vagues imitations façon Michel Leeb, des blagues lourdingues de fin de soirée et une grosse partie d’improvisation avec le public, afin de combler les blancs d’un spectacle bancal.
C’est bon , il a sa place chez Druker, alors adieu insolence et originalité et bonjour Mr Laurent Gerra