Le film raconte l'histoire du père Noël, interprété par Alain Chabat, qui à 4 jours de Noël, voit l'ensemble de ses lutins tomber sur place à cause de la grippe. Inquiet, il décide de récupérer des vitamines, le seul moyen de les guérir. Le décalage se fait lorsqu'il se retrouve seul en plein milieu de la vie parisienne.
Le film est une vraie réussite : les blagues sont au rendez-vous et on retrouve la patte de Chabat. Le scénario n'est pas bien élaboré mais il suffit pour passer un très bon moment, il s'agit d'une comédie de Noel plutôt simple mais qui est efficace.
Le début du film est formidable avec notamment la visite de l'usine des lutins qui est superbement représentée. Les effets visuels donnent un côté très féérique et hypnotique au film !
Le seul réel point négatif est quelques lenteurs qui peuvent nous faire sortir du film.
Créée
le 3 déc. 2017
Critique lue 812 fois
1 j'aime
D'autres avis sur Santa & Cie
A l’approche des traditions hivernales, et de cette douce innocence imprégnant chaque flocon de neige, le cinéma tente bien souvent, lui aussi, de retrouver cette naïveté instinctive, cette bonhomie...
Par
le 6 déc. 2017
44 j'aime
13
Santa & Cie, à vrai dire, ne faisait pas du tout partie de mes plans cinéma de cette fin d'année. Parce que Alain Chabat et moi, cela n'a jamais été le grand amour. En tant qu'acteur ou même...
le 9 déc. 2017
40 j'aime
6
J’adore Noël. J’adore les semaines avant Noël, les achats de cadeaux à la dernière minute, les villes illuminées, les enfants avec les yeux qui brillent quand ils voient le Père Noël et qui ne...
Par
le 7 déc. 2017
28 j'aime
Du même critique
Un bon film qui marque énormément de points sur sa manière d'être filmé : un montage de fou ressemblant étrangement aux montages d'Edgar Wright, notamment dans la création des effets de...
Par
le 4 nov. 2017
2 j'aime
Le film raconte l'histoire du père Noël, interprété par Alain Chabat, qui à 4 jours de Noël, voit l'ensemble de ses lutins tomber sur place à cause de la grippe. Inquiet, il décide de récupérer des...
Par
le 3 déc. 2017
1 j'aime
