Décidément, la grande époque d’Oliver Stone est peut-être bel et bien finie, vu son passé ç’aurait pu être un superbe pamphlet. C’est l’histoire d’un trouple gargantuesquement ridicule, un peu comme le pastiche de Benicio, du fait de son inauthenticité jalonné de scènes gores pour impressionner les impressionnables et de longs dialogues assommants. Effectivement, aucune disputes ni aucune jalousie entre gars qui vont d’ailleurs s’entraider allègrement et sans anicroches. Et grandement rudoyer des cartels mexicains, seuls, alors là, je leur tire mon chapeau. Je n’ai pas aimé le procédé des deux fins, c’est agir sans se mouiller selon moi.