Cüneyt Arkin plus bondissant et indestructible que jamais, virevolte sabre au clair et, au nom d'Allah, démastique du vil chrétien byzantin par paquet de 12 dans ce double rôle de noble sultan et de son fils courageux, affrontant des hordes de mercenaires pittoresques dont des chinois karatekas, des nonnes perverses ou des guerriers vikings sosies d'Astérix et Obélix avec leurs perruques oranges Créafête. Evitant le style ronge tête habituel du cinéma d'action ottoman, ce film de cape et d'épée est aussi lisible que rythmé et coloré quoique rapidement répétitif dans ses péripéties.
(Ma note Nanarland 3/5)