Réalisé par un David Michael Latt maintenant habitué aux trucs nuls en tout genre (mais toujours bien nul hein), la suite de Scarecrow rate tout. Mais genre, encore plus que le premier !
Un jeune homme est abattu alors qu’il tente de voler Scarecrow. Son âme est alors aspité par l’épouvantail qui reivent à la vie et tente de retrouver Mary, qu’il veut contraindre à devenir sa femme. Quitte à abattre tout ce qui se dressera sur son chemin.
Avec la présence de Tony Todd (alias Le Candyman), on aurait pu espérer quelque chose. Genre un peu de qualité. Mais non. De la mise en scéne au scénario en passant par la direction d’acteur, le film ne parvient à faire mieux que musicalement. Non pas que ce soit bon, mais c’est quelconque, là où le premier film était gratuitement tapageur à ce niveau. Mais entre uen esthétique des fois hallucinante de mauvais goût et un Scarecrow qui se prend encore pour Jackie Chan, autant dire qu’on est servi.
On notera d’ailleurs un combat final absolument hallucinant mixant toutes les hérésies déjà cités, et les combinant dans une forme de grâce infernal représenant ce que le cinéma peut faire de pire. Et vouus savez quoi ? Le pire dans cette histoire c’est « Scarecrow : L’ultime massacre » existe ! Heureusement pour nous, The Asylum en a lâché la production, ne m’obligeant pas à vous en parler. Mon esprit est sauf… mais il gardera des séquelles !