Rien à cirer
[Critique à lire après avoir vu le film]J'ai cherché en vain, à l'issue du film, la signification du titre, Sciusciá. Wikipedia me fournit obligeamment la réponse : il s'agit d'un dérivé italien du...
Par
le 17 janv. 2024
4 j'aime
L’année 1946 marque le début du néoréalisme au cinéma. En effet, en septembre, le Festival de Cannes attribue son Prix du Jury à Roberto Rossellini pour Rome, ville ouverte. Quelques mois plus tôt, en avril, Sciuscia sort dans les salles transalpines. Le film est l’œuvre d’un autre cinéaste de renom, Vittorio De Sica. Sciuscia, mal accueilli par les critiques locales dans l’incompréhension, ne trouve pas son public. Ce film fut d’abord un succès à l’international, notamment en France et aux États-Unis. Lire la critique complète.
Créée
le 4 déc. 2022
Critique lue 31 fois
D'autres avis sur Sciuscia
[Critique à lire après avoir vu le film]J'ai cherché en vain, à l'issue du film, la signification du titre, Sciusciá. Wikipedia me fournit obligeamment la réponse : il s'agit d'un dérivé italien du...
Par
le 17 janv. 2024
4 j'aime
La densité narrative et d'action demeurent toujours très surprenantes. Film authentiquement tragique dans le sens où les deux amis seront les victimes innocentes de la misère ambiante (machination...
Par
le 23 juil. 2023
1 j'aime
Annonciateur du voleur de bicyclettes, Sciuscià peut souffrir de la comparaison avec cet énorme classique dans lequel s'exprime pleinement le talent de De Sica. En effet, Sciuscià, qui lui est...
Par
le 6 avr. 2020
1 j'aime
Du même critique
Après la réalisation de plusieurs courts-métrages dont L’accordeur en 2010, Olivier Treiner livre son premier long-métrage titré Le tourbillon de la vie. Il peut être dessiné un lien entre...
le 23 déc. 2022
8 j'aime
Le bleu du caftan relève d’un cinéma combinant à la fois poses et pauses. Reconnaissons à Maryam Touzani la qualité de sa composition cinématographique. Les cadres et la photographie du film sont de...
le 20 mars 2023
7 j'aime
1
Piège pour Cendrillon fait partie des films les plus rares parmi ceux réalisés par André Cayatte. Avec l’aide de Jean Anouilh, le cinéaste adapte sur grand écran le roman éponyme de Sébastien...
le 4 janv. 2020
5 j'aime