Scott Pilgrim par chomsky
Wouaaah... dans Scott Pilgrim on peut voir le logo d'universal en 8 bit, une mise en scène qui doit faire chier dans son ben David Fincher himself, une police des végétaliens, un sens de la narration et du montage bien plus immersif que la 3d merdique d'Avatar, et surtout un subtile mélange de rock garbage, de BD et de jeux vidéo.
Geeks courez-y. Non geeks courez-y. Pseudos metteurs en scène biberonnés aux clips MTV courez-y et prenez des notes.
Parce que la scène du concert des "the clash at demonhead" est une véritable leçon de cinéma ; un régal pour les yeux et les oreilles.
Des répliques qui tuent : "ça ne me dérange pas de frapper une fille , je suis une rock star", "tu diras ça à la femme de ménage lundi matin" et j'en passe.
Scott Pilgrim est intelligent, exigeant, générationnel et sans star... bref tout les symptômes du flop commercial mais tout ce qui fait un film culte.