Screamadelicouille
[tu sais très bien que je vais pas te sortir l'identité du/de la/des tueur(s) ici, hein, mais je suis obligé d'éventer UN MINIMUM le film pour en causer, hein. OK] Alors Scream 4 coco ça vaut quoi ...
le 7 avr. 2011
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J'annonce en criant que ce volet est bien le meilleur de toute la saga. 11 ans pour voir un quatrième Scream et Wes Craven toujours accompagner de Kevin Williamson au scénario donne un coup de couteau pas loin révolutionnaire. Ca commence fort, l'ouverture du film est la plus trippante, poilante qui soit, l'excitation s'installe, me suis dit c'est pas possible ? On remarquera comme d'habitude la patte du concept qui est de procurer le plus de référence possible au film d'horreur en négligeant aucunement de bien montrer la gente féminine comme une tentation extrême et ma pensée est tout de suite de "je vais te tuer t'es trop bonne", blonde ou brune dans toute son absolue soigner sur le plan physique. Pour ce qui est de l'histoire c'est ici que le point le plus fort réside, deux fois plus gore, pas de musique rock teenage qui me barbait bien dans le premier et qui vieilli le tout. Profondeur et action mieux travailler que tous les précédents épisodes, les personnages sont motivant (surtout celui de Neve Campbell), le suspense est à son comble durant plus d'une heure. Plus on avance et plus on se dit encore j'en veux encore. Bien que le dénouement final soit assez exagérer, il faut dire que la complexité psychologique, la machination et l'audace est bien là (Jill), jouer par Emma Roberts que j'affectionne depuis le début de sa filmographie, j'avais hâte de la voir, j'ai une petite déception pour son jeu qui parfois manque de dureté sur son visage. Sa fraicheur trahie un peu l'intensité qui est censé sortir, mais elle reste surprenante intérieurement et surtout pour une scène précise, le carnage quelle applique dans ses meurtres, le coup ou elle se jette contre un cadre à la manière de Jack (Fight Club). A la fin de tout ça, tu te dis, hé bé, que ce fut éprouvant. Une émotion plus aiguisé, franchement c'est comme la lame d'un couteau, oui là, j'ai eu les boules pour le clan de Sydney Prescott. C'est la première fois que j'ai eu ça dans les tripes d'un Scream (même si le final du premier volet est fou fou mais assez tirer vers l'humour demi-fantasque poussif), or, dans le 4, plus cela avance et plus c'est tendu. Et on se marre plus du tout des masses, au contraire, on s'inquiète grave. Absorbez bien la fin, car personnellement c'est glaçant. Puis tu pense à un cinquième volet dans un état d'esprit paumer. Voilà, j'ai à peu près tout dis, j'ai expliqué à peu près toute ma satisfaction quand j'ai visionné ce quatrième volet.
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Créée
le 15 août 2015
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