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Entre une intrigue facile, des personnages tirés par de grosses ficelles, un style mécanique aux effets artificiels et grossiers et un humour parfois vieilli, Dupontel semble avoir quelque peu perdu la main, plongeant avec ce Second Tour dans des considérations politiques basses, qu'on aurait franchement imaginées d'un autre niveau lorsqu'on connaît un peu l'auteur des géniaux Adieu les Cons et 9 mois ferme.

Demeurent heureusement quelques amusants pieds de nez et une sincérité presque naïve touchante.

Charles Dubois

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