Famille et amis se retrouvent à la campagne. L’une d’entre eux fait le point sur sa vie et elle est en pleine phase de statu quo existentiel.
À l’instar d’Intérieurs, le réalisateur névrosé essaye de singer l’immense Ingmar Bergman, mais là où il s’égare : c’est en confondant austérité et fadeur avec drame. Je sais qu’il possède l’ambition de faire un film sérieux mais lorsqu’on met en scène des films comiques aussi prodigieux, pourquoi donc s’obstiner à complexifier stérilement ses métrages. De plus, il se dévalorise en étant quasiment intégralement dépossédé de sa patte.