Si on aime Ayako Ohta

Toshiharu Ikeda, le réalisateur a participé de nombreux films du même acabit, de même ses actrices, la frêle Ayako Ohta et la mature Erina Miyai, sans chef d’oeuvre à leur actif. La réalisation est propre et le cadrage adéquat. cependant, le film souffre d’un format trop court (1h07) rendant la conversion de la petite Miki au vice et au stupre excessivement rapide. Néanmoins, Nous trouvons les ingrédients classiques du roman porno japonais : vengeance, innocence pervertie, scènes avec cordes et fouet, homme impotent, cerbère étalon, lesbianisme, orgie, inceste et….une bouteille de coca. A noter que l’utilisation des miroirs permet des plans intéressants. Du très classique donc mais sans plus. On retiendra également qu’il n’est guère prudent de faire l’amour dans un fauteuil roulant au bord d’un précipice.