Critique de par Pravda
C'est comme si, lassé de voir le cinéma prendre la poussière, enfermé dans ses codes immuables et routiniers, John Cassavetes avait voulu faire souffler un vent de liberté sur ce film en...
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le 16 janv. 2014
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Critiques
C'est comme si, lassé de voir le cinéma prendre la poussière, enfermé dans ses codes immuables et routiniers, John Cassavetes avait voulu faire souffler un vent de liberté sur ce film en...
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le 16 janv. 2014
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Au cours d’une des dernières séquences qui achève de faire de nos personnages des perdants au vu de la dérouillée qu’ils se prennent dans un local à poubelle, l’un des combattants met un poing...
le 12 mai 2015
33 j'aime
1
"Un drame, c'est plus beau quand ça swingue." C'est un peu ce que semble nous dire Cassavetes tout en demandant à Shafi Hadi et Charles Mingus de jouer toujours plus fort. Dès son premier film,...
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le 31 mai 2012
27 j'aime
C'est toujours difficile de juger un premier film : moins d'expérience, plus de fraîcheur, moins de maîtrise, plus d'originalité. On devrait les considérer en étant moins exigeants sur la forme, et...
le 4 août 2011
11 j'aime
Ce n'est pas le premier style "Nouvelle Vague" dans le Pays de l'oncle Sam puisque Morris Engels est parvenu à faire de la "Nouvelle Vague" quelques années avant la "Nouvelle Vague" de manière plus...
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le 7 juin 2014
8 j'aime
Troisième film de John Cassavetes que je vois (après "Opening night" et "Meurtre d'un bookmaker chinois") et une nouvelle fois, j'ai beaucoup aimé. Celui-là est son premier. Mazel tov! On sent...
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le 16 mai 2014
6 j'aime
« En 1959, John Cassavetes dynamite les codes du cinéma traditionnel avec Shadows, une œuvre à petit budget, en grande partie improvisée, tournée en décors naturels avec des comédiens inconnus. C'est...
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le 3 mars 2011
6 j'aime
2
Une etoile pour la musique (mythique Mingus), une pour l'audace de faire un film totalement en improvisation, et une pour un petit je ne sais quoi qui fait le charme du film. Film phare du cine inde...
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le 2 oct. 2010
5 j'aime
Si on surfe sur la nouvelle vague, on en est aux prémices, car la bête ressemble plus à un A bout de souffle ou à un 400 coups qu'à un La chinoise. En clair, tout est d'une simplicité confondante,...
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le 19 oct. 2011
4 j'aime
1
S'ancrant dans la nouvelle vague Americaine à l'aube des années 60, ce film porte à mon sens tout les clichés de ces films qui se veulent intellectuels et novateurs alors qu'ils ne sont qu'un...
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le 2 févr. 2016
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