C’est la seconde fois que je commence à regarder ce film sans pouvoir le terminer faute de temps. Mais ce n’est que partie remise. La prochaine fois je le regarderai à nouveau depuis le début et je m'en réjouie d'avance.
Le scénario, écrit par Ruth Prawer Jhabvala, s'inspire de la vie réelle de la famille Kendal, comédiens britanniques vivant en Inde.
Le film est en noir et blanc pour des raisons budgétaire ce qui évite l'Inde d’Épinal pour se concentrer sur le sujet : Une histoire d'amour, amour entre deux jeunes gens qui vivent une histoire initiatique comme dans de nombreux fils de James Ivoiry (Chambre avec vue, Maurice) mais aussi et surtout l'amour du théâtre, des acteurs et des actrices.
A voir actuellement sur OCS Géants.
Créée
le 8 janv. 2022
Critique lue 57 fois
D'autres avis sur Shakespeare Wallah
Ce deuxième long-métrage de James Ivory, qui espère sans doute rappeler Ray, est l'oeuvre d'un grand réalisateur à une époque où il se cherchait, dans les sujets comme le traitement. Son étude de la...
Par
le 15 mai 2021
Dans un raffinement élitiste, pour ce 2 long de fiction, Ivory conte une lutte tragique entre la Grande-Bretagne et l'Inde, le théâtre et le cinéma, les hommes et les femmes. Et dépeint les indiens...
le 19 févr. 2019
Un bien joli bijou que nous offre Ivory et ses complices sur le désamour d'un art pour un autre et l'évolution d'une société qui s'émancipe.
Par
le 22 janv. 2017
Du même critique
Marilyn Monroe, la battante, la femme libre et moderne telle qu'on a pu la découvrir dans des documentaires récents, vous ne la verrez pas dans ce film. Ce film qui est inspiré par le pire livre...
le 10 nov. 2023
5 j'aime
2
Il y a dans ce films quelques très belles scènes mais il y en a aussi de nombreuses inutiles et tellement attendues que j'ai eu des impressions de déjà-vu. Mais aussi, il y a Fanny Ardant qui est...
le 18 janv. 2023
4 j'aime
Ce doc diffusé sur Netflix réussi le tour de force de raconter la carrière de David Bowie sans sa musique et sans sa voix chantée. Les extraits de concerts sont muets ou bien accompagnés d'une...
le 21 avr. 2022
4 j'aime
