Bon, ce qui est vraiment pas mal dans ce dernier opus, c’est qu’il multiplie les décors car Fin, Nova et April (voyagent dans le temps pour tenter de stopper le premier « Sharknado » : au temps des dinosaures : ils tentent de neutraliser le « Sharknado » et après pensent retourner à leur époque grâce à un Sharknado, sauf que c’est plus compliqué que cela : ils se retrouveront au moyen âge (avec des clins d’œils satiriques à « Game of Thrones » avec une drag-queen comme enchanteur...), pendant la révolution, à l’époque de Billy the Kid, puis dans
les années 50 où Fin rencontre sa mère enceinte de lui (interprétée par Tori Spelling qui devrait arrêter le botox…) puis en 1997 (pour que Nova sauve son grand-père) et en 20013 (!) où il y a robots requins et des clones d’April (cette partie SF est le truc le plus taré de la saga) et enfin de retour chez eux.
On as le droit à un beau happy-end et je suis assez ému de quitter ces personnages, leurs combats d’attaques de requins complètement déments.
Lorsque Fin, Nova et April arrivent à rejoindre notre époque : c’est une longue séquence de trip où on voit défilés tout un tas de personnages comme Cléopâtre, Hitler, etc. dont certains se font bouffer par des requins… : oui, je pense que le scénariste à pris une bonne dose de coke.
Évidemment les effets spéciaux sont parfois assez cradingues et les voix françaises sont irritantes (surtout celle de Nova dans cet épisode) : il aurait peut être mieux fallu pour mes oreilles que je regarde la saga en VO. Mais je préfère ces « Sharknado » aux budgets volontairement dérisoires fait avec passion et exigence pour un public « cool » que des blockbusters comme les trucs de super héros qui coûtent des millions seulement avec des mythologies si complexes, que je parie qu’au bout d’un moment personne ne comprends plus rien.
Je doute que la saga « Sharknado » ai rapporté beaucoup d’argent, mais les acteurs se sont vraiment amusés : il y a quelque chose d’euphorique, de magique dans cette saga parodique.
C’est volontairement n’importe quoi mais il faut accepter de se laisser porter.
Contrairement aux films de super héros, c’est pas sérieux.
C’est fun comme on dit. Et bien cradingue par moments aussi mais bon c’était prévisible.