Signe désire attirer l’attention et elle se provoque elle-même une maladie qui n’avait jamais atteint personne en ingurgitant des médicaments avec excès.
Doté d’un humour dévastateur, le métrage vilipende une société où les apparences et le narcissisme priment et en la montrant sous un jour mirifique. Excessive, l’héroïne est détestable dans les ressemblances qu’on peut lui trouver en commun avec nous-mêmes. Sick of myself montre que la laideur peut s’avérer aussi populaire que la beauté, et cela, jusqu’à l’écœurement.