Poisson d'avril
Quand on recense le nombre de film d'une nullité sans nom qui sortent au cinéma, ce petit film de genre aurait largement mérité une exploitation sur grand écran. On embarque dans une histoire...
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le 21 janv. 2018
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Plein de bonnes idées, en termes de mise en scène ou de scénario. Rare pour un film bis.
Qu'il s'agisse de la focale hallucinée, des mouvements de caméras, la scène du restaurant, le bar ésotérique, le vol des souvenirs, le sous-sol mouvant (j'ai un faible pour les environnements qui évoluent d'eux-mêmes, comme l'hôpital de Ghost Encounters) et les touches d'érotisme...
Mais tous ces petits éléments manquent de liant.
L'humour absurde ne suffit pas à faire oublier les ralentis, la BO fade ou l'absence d'écriture des personnages et de cadres mémorables. Sans parler du jeu, des effets spéciaux et du sur-découpage. J'ai même éclaté de rire au plan final. Et le viol plagié sur Splice... A croire que le film possède deux réalisateurs distincts, qu'il fallait en rester au court métrage.
A retenter avec davantage de moyens (et en montrant davantage les fesses de Lilith).
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Créée
le 25 févr. 2021
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