Daneil Craig renfile son costume d'agent secret pour ce troisième opus de James Bond.
Sur la lignée de Casino Royal et Quantum of Solace, ce James Bond diffère des anciens films du même nom.
Après le décevant Quantum of Solace l'organisation Quantum est abandonnée au profit d'un ancien espion ayant retourné sa veste et souhaitant faire payer son ancienne collaboratrice M. Javier Bardem endosse ce rôle en alliant folie psychotique et humour gay-friendly qui apporte une touche inattendue à cet espion déchu. James Bond vieillissant se fait passer pour mort et profite de la vie et de l'alcool. L'attaque du MI6 fait ressortir sont côté patriotiques et le pousse à reprendre du service. Le jeu de Daniel Craig suit les précédents opus en alliant auto-dérision et réparti plus ou moins saignante. Cependant en ayant lu une interview de la James Bond Girl, je m'attendais à une plus grande implication de celle-ci, mais son rôle s'est limité à une apparition de quelques minutes et à une fin prématurée.
L'intrigue rappelle le premier mission impossible. Je l'ai trouvée trop linéaire sans de grand rebondissement. Autre point négatif la personnification de James Bond. L'histoire centrée sur l'enfance de James Bond est bien pensée mais le fait qu'on colle le nom de James Bond à ce personnage m'a déçu. Pour moi James Bond est un nom et non une personne. Question de point de vue.
Concernant l'action, celui-ci est omniprésente tout au long du film avec une course-poursuite, dès le début du film, nous plongeant dans la ville d'Istanbul et une fusillade déséquilibrée en Ecosse pour conclure ce film. Ces scènes sont bien réalisées et pas trop ennuyeuse.
Pour conclure un James Bond divertissant qui répond aux attentes.