Quel plaisir absolu que de voir une histoire en apparence très simple devenir aussi passionnante grâce à l'écriture, le montage et la mise en scène de Danny Boyle. L'idée de raconter cette histoire vraie sous 3 timelines différentes est brillante tant chacune interagissent entre elles, rendant le film à la fois fluide et agréable à regarder. Et bien sûr, la caméra énervée de Danny Boyle y joue beaucoup, on est dans le pur style des années 2000 où en fait des caisses avec le numérique. Et puis j'ai un giga crush sur Dev Patel (sa danse à la fin c'est mon empire romain par contre).