Snowpiercer ou comment faire l'allégorie d'une société.

Mon wagon préféré est celui de la classe d'école, ou on retrouve le vieux monsieur qui fait du violon et l'institutrice qui effectue proprement le pire bourrage de crâne que l'on peut entendre au enfants qui gobent leurs paroles jusqu'à ce que tout le monde sortent les armes et se massacrent mutuellement.

La fin du film montre l'horreur, la trahison, la mort, l'esclavage et finalement l'espoir symbolisé par la vie en dehors du train ce qui est très poétique malgré que l'on garde des images telle que l'enfant qui remplace une pièce de l'appareil, le cannibalisme et la perte de membres, l'éloge de la machine qui apparait comme une propagande qui recouvre les horreurs de la machine ainsi que le fait que l'ancien du fond du train qui apparait comme un sage et le créateur du train soit alliés et à la toute fin, le meneur des rebelles qui hésite à passer de l'autre coté et devenir un traître qui croit faire le bien mais préfère laisser 2 survivants à l'humanité plutôt que de continuer les atrocités.
On gardera comme morale que le train n'est pas une mauvaise chose en soi dans le contexte du film, il est juste très mal utilisé exactement comme le monde d'aujourd'hui.