5
Solo de pauvre
Oulala les acteurs sont terrifiants. Surtout le sous-sous-sous Spencer Tracy qui joue le rôle de Mike Hammer. C'est franchement rédhibitoire. A côté de ça, le scénario est une classique histoire de...
Par
le 31 août 2011
4 j'aime
6
Solo pour une blonde par Alex
Film policier britannique de 1963 tourné en noir et blanc et présenté en passage unique lors de cette première journée de projections, Solo pour une blonde a le charme désuet des pulp movies de l'époque : une blonde vénéneuse, un flic bourru et alcoolique (le fameux Mike Hammer, ici interprété par son propre créateur, l'écrivain américain Mickey Spillane), une intrigue mélant drame sentimental, érotisme de maillot de bain et complot politique, des coups de feu, des dragues macho la cigarette aux lèvres, des bagarres bien viriles qui prètent à rire aujourd'hui, avec les coups de poing portés très loin du visage et les mecs qui ramassent leur chapeau feutre tombé à terre...
Le dénouement de l'intrigue policière m'a un peu largué mais dans l'ensemble j'ai trouvé le film plutôt agréable.
5
Écrit par
Cet utilisateur l'a également ajouté à sa liste Festival International du Film de La Rochelle (2010)
Créée
le 4 juin 2016
Critique lue 288 fois
2 j'aime
D'autres avis sur Solo pour une blonde
5
Quand un auteur se la joue solo.
Bien que le personnage soit oublié aujourd'hui, Mike Hammer était un détective qui a fait les beaux jours de la télé des années 80, et son auteur était Mickey Spillane. Mais avant cela, il a incarné...
Par
le 5 mai 2020
3 j'aime
4
Que celui qui a compris quelque chose à ce salmigondis lève le doigt !
Quel idée il a eu Spillane d'aller jouer le rôle principal dans l'adaptation de son bouquin ? Passe encore quand il fait le gros dur, mais quand il joue les séducteurs, ça ne va plus du tout. Sinon...
Par
le 19 déc. 2018
3 j'aime
Du même critique
6
Un film tellement plus important que ce que j'en pense
Deux jours avant la sortie des Femmes au balcon, j'ai assisté à une avant-première suivie d'un débat avec Noémie Merlant, Sanda Codreanu (à l'affiche, et créditée comme ayant participé au scénario)...
Par
le 13 déc. 2024
54 j'aime
5
9
On dit décidément MONSIEUR Dupontel !
La Rochelle, 26 juin. Jour de mon anniversaire et de l'avant-première de Au revoir là-haut en présence d'Albert Dupontel. Lorsqu'il entre dans la salle à la fin de la projection, le public...
Par
le 27 juin 2017
54 j'aime
4
4
Si "le travelling est affaire de morale", ici le panoramique vertical est affaire de vice
Je n'accorde habituellement que très peu de crédit au vieux débat clivant qui oppose bêtement cinéma populaire et cinéma d'auteur (comme si les deux étaient deux genres définitivement distincts et...
Par
le 27 mars 2018
50 j'aime
19
