Sombre
A l’aube, je dessine les traits frivoles de ton geste Qui s'échappe au contour brumeux de ta vie funeste ; Cette obscurité se tait ; se tasse; dévisage mon ennui Pour mieux me nuire. Pour mettre fin...
Par
le 28 déc. 2014
27 j'aime
3
Fidèle à son titre, le film nous plonge dans l'obscurité d'une rencontre qui donne soudainement sens à deux vies perturbées.
Saccadé et déstabilisant, il décentralise les motifs et pulsions d'un protagoniste obscure.
Créée
le 2 avr. 2021
Critique lue 76 fois
D'autres avis sur Sombre
A l’aube, je dessine les traits frivoles de ton geste Qui s'échappe au contour brumeux de ta vie funeste ; Cette obscurité se tait ; se tasse; dévisage mon ennui Pour mieux me nuire. Pour mettre fin...
Par
le 28 déc. 2014
27 j'aime
3
Une salle de spectacle, pleine d'enfants dans l'ombre, qui regardent semble-t-il un spectacle de Guignol, surexcités et amusés. Un bruit blanc, sourd, étouffant se met à sourdre, l'image s'assombrit...
le 15 nov. 2014
10 j'aime
Oeuvre d'Art intégrale Sombre est un premier film littéralement subjuguant, plastiquement radical et résolument immersif. Philippe Grandrieux nous promène d'un bout à l'autre sur les routes...
Par
le 8 sept. 2018
6 j'aime
Du même critique
Magnifiques images, bande-son envoûtante. Une histoire très bien pensée et une fin waowza. Monotone dans les combats et les explosions sans fin, fidèle à son genre.
le 28 sept. 2020
1 j'aime
USA, pauvreté et ignorance; un monde sans adultes. Coming of âge d'individus perturbés par le monde qui les entoure. Un panaché de minorités dans un grand bal de saynètes. Un personnage lapinesque...
le 13 août 2020
1 j'aime
Topor, j'adore. Un plaisir de voir ce classique, et de découvrir que c'est du Topor en mouvement. Jeux d'échelles temporelles et spatiales splendides, le tout pour une fiction qui nous fait fabuler...
le 22 juil. 2020
1 j'aime