Il a fait prout
Bon j'ai juste vu ça parce que je devais attendre en ville et c'était le seul film qui passait à l'heure où je suis arrivé... Je ne pensais vraiment pas le voir un jour... et en le voyant je...
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le 12 mars 2020
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Bon, le design original ayant déjà été abordé, on n’en parle plus!
Sonic le Hérisson (ou Sonic : Le Film pour l’Europe) est l’adaptation cinématographique de la franchise de jeux vidéo du même nom ayant débutée en 1991. Le film est réalisé par Jeff Fowler, un nouveau venu et met en vedette Ben Schwartz (Parks and Recreation, La Bande à Picsou (2017)), Jim Carrey (Le Mask, Dumb & Dumber, Le Truman Show) et James Marsden (X-Men, Il Était une Fois). La franchise Sonic est une licence ayant eu des hauts et des bas et qui aujourd’hui n’a plus la même popularité qu’elle avait à ses débuts. On peut donc se demander légèrement comment ce film a-t-il pu être approuvé par les gros studios et aussi comment a-t-il eu droit au succès qu’il a connu.
Le film raconte évidemment l’histoire de Sonic le hérisson (Ben Schwartz) qui lui, né avec d’étranges pouvoirs, peut courir à une vitesse supersonique et même générer de l’énergie électrique par ses émotions extrêmes. Chassé de son monde, Sonic vit maintenant dans le nôtre, dans un petit patelin dans le Montana nommé Green Hills (un peu comme l’équivalent des Collines Vertes, la Green Hill Zone d’où il vient). Il vit en secret dans cette ville où il y fait la connaissance de la culture américaine et surtout du shérif Tom Wachowski (James Marsden). Mais malgré ses petits plaisirs, Sonic vit seul au monde et un jour, il pète un câble et crée malgré lui une onde de choc provoquant une panne de courant générale qui alerte le gouvernement qui envoie un scientifique mégalomane, le Dr. Robotnik (Jim Carrey) à ses trousses ainsi que celle de Tom qui est embarqué dans cette affaire.
En effet, le film s’avère structuré de la même façon que d’autres comédies hollywoodiennes avec personnage 3D comme Les Schtroumpfs (2011), Hop (également avec James Marsden), Alvin et les Chipmunks (2007) ou Woody Woodpecker (2017), à savoir, un homme de la ville qui cherche une certaine grandeur et qui rencontre un personnage en image de synthèse avec qui il partira en road trip vers un voyage qui va changer leur vie. Mais là où Sonic réussit là où plusieurs de ces films ont échoué et s’avère être une œuvre appréciable et plutôt intéressante, c’est avec son contenu, ses personnages et comment chacun se complimente l’un avec l’autre pour construire le scénario du film, qui s’avère beaucoup plus malin qu’on pourrait le croire. Malgré sa familiarité, c’est une histoire non seulement d’amitié mais aussi d’acceptation de soi, mené par chacun des trois personnages principaux et leur désir.
Tout d’abord, l’histoire est racontée en flashback par Sonic lui-même, jeune hérisson pouvant courir extrêmement vite et aimant vivre sa vie au jour le jour tel un éternel enfant. C’est ça qui vient donner au film sa structure hollywoodienne ainsi que l’impression qu’il est raconté par quelqu’un qui a « vu trop de films d’actions » et qui balance souvent des références à la culture américaine (Vin Diesel, Amazon) ou encore une séquence d’action en course figée à la Quicksilver des films X-Men avec une chanson pop qui vient tout de même bien définir le personnage ("You can’t stop me, ‘cause my pain is gasoline. I can’t wait, no, for nobody"). En effet, cela peut être une façon artificielle et cheap de faire rigoler (« J’ai compris la référence »), mais venant d’un hérisson qui comme il dit « a vu beaucoup trop de films d’action » et cherche à s’intégrer dans ce monde, ces petits clins d’œil viennent donc plus comme des mécanismes psychologiques pour s’intégrer. Et cela vient jouer dans la structure du film.
En termes de structure, on peut peut-être se demander, si le film est une histoire racontée en flashback par Sonic, alors comment peut-on voir des moments qu’il n’a pas assisté ? Mais au moins, dans ce film, Sonic démontre déjà qu’il connaît bien le monde américain dans lequel il vit depuis des années, comme le système militaire, la ville de Green Hills, la musique, le cinéma et il CONNAÎT Tom Wachowski et sa famille, et il a bien aperçu le Dr. Robotnik. Tout ceci est donc logique puisqu’on peut dire que Sonic raconte l’histoire de la façon qu’il imagine, avec le rythme rapide, le côté hollywoodien du film, le ton plutôt coquin et blagueur des personnages de l’histoire, ainsi que les moments où il est absent comme ceux avec la belle-sœur de Tom ou avec Robotnik dansant dans son camion sur une musique des années 70s. Encore une fois, Sonic le dit lui-même, c’est un hérisson qui a vu trop de films d’action.
En effet, Sonic est un jeune assoiffé d’adrénaline qui est venu dans notre monde grâce à des anneaux magiques lui servant de portails, mais à qui il lui manque une chose importante pour tout être humain. Ce qu’il recherche, c’est de l’amitié, ne plus vivre seul, s’intégrer malgré son côté alien et connaitre un peu plus de ce qui l’entoure. La Terre c’est une immense planète, donc il pourrait normalement aller où il veut, comme se rendre au Canada ou traverser l’océan pour aller au Japon, mais une chose le retient : Le fait qu’il soit un hérisson parlant et ses capacités, ses pouvoirs avec lesquels il est né et sa vitesse supersonique. Oui, sa vitesse et sa capacité de générer et conduire l’électricité par son adrénaline et ses émotions fortes s’avèrent à la fois être son don mais aussi sa malédiction. Même si cela lui donne du plaisir, c’est aussi ça qui l’a mené à perdre les gens qu’il aime, comme sa nourrice Grand-Bec lors de sa jeunesse. En effet, ses pouvoirs ayant attiré une tribu ennemie contre eux et chassé Sonic de chez lui pour aller vivre en cachette dans la petite ville de Green Hills. « Ne t’arrête jamais de courir », tels étaient les derniers mots de la nourrice de Sonic mais qu’est-ce que ça veut dire ? Se cacher pour être en sécurité ou réussir à s’exprimer ?
Justement, c’est cette envie de Sonic, son désir d’adrénaline et de vivre qui finit littéralement par exploser, provoquant une panne de courant générale, ce qui va ironiquement allumer, chambouler la petite ville de Green Hills qui bien que paisible et sans histoire s’avère inepte. Trop confortable pour être apte à quelconque danger, faisant de Sonic un fugitif du gouvernement américain qui le recherche désormais tel un OVNI. Au début, Sonic observait le monde et ses personnages de loin, là il devra agir, accompagné du second protagoniste de l’histoire, Tom Wachowski.
Normalement, dans ce genre de film, le personnage humain serait une mauviette qui deviendrait vite insupportable, sous-développé et sans intérêt, nous faisant réclamer Sonic. Mais heureusement, ce n’est pas le cas. Parce que le film va avec la question, qui est Tom et que fait-il dans l’univers d’un hérisson bleu ?
Comme Sonic, Tom, qui sera attiré dans cette aventure malgré lui, recherche un peu d’adrénaline dans son boulot de policer, à compter et être respecté comme un grand policier. Pour ce faire, il cherche à quitter Green Hills pour la grande cité de San Francisco et devenir justement un grand policier. Chose qui malgré son ennui, il a déjà acquis. Il est aimé par les gens de Green Hills, possède une femme et une bonne maison, chose que Sonic n’a pas. Et c’est là que les deux vont se rapprocher, par ces opposés. C’est un développement tout de même basique, certes, mais pas dénué d’intérêt et heureusement, ne tombe pas dans le cliché du loser en décalage avec le héros qu’on a vu dans tant de comédies.
Malgré leur différences, Sonic sera à Tom ce que Tom est à Sonic, un ami de qui il peut apprendre, pour qui il peut compter. Sonic devant ralentir et prendre la voiture pour se déplacer là où il doit retrouver ses anneaux, et Tom va aller à sa destination de rêve en aidant quelqu’un dans le besoin. Et encore une fois, c’est là que les deux viennent se rapprocher mais en même temps se contraster. Malgré leur amitié, leur envie commune d’aventure, d’adrénaline et surtout d’avoir une place quelque part, Tom veut quitter volontairement là où il est aimé et où il vit bien, alors que Sonic, a été chassé de son domicile. C’est là qu’on peut comprendre que malgré la proximité et la bonne chimie des personnages, il y a une distance, un fossé qui doit mener vers un juste milieu. Ce qui vient aussi apporter une dynamique intéressante entre l’humain et l’animal, là où l’humain veut s’en aller, l’animal qui aime veut rester.
C’est le désir humain, aller dans les lieux plus grands, de rechercher le meilleur emploi, déménager dans la plus grosse ville et être mieux vu par les autres. Parce que, qui est Tom? Pour les habitants de Green Hills c’est un bon flic qui les aide, pour Sonic, c’est le grand seigneur des beignes, mais pour la ville, il n’est encore personne et pour d’autres, il n’est qu’un simple flic insignifiant. Donc, être important pour qui ? Pour des étrangers qui vont nous oublier et parler dans notre dos, des gens de village qui nous aiment sincèrement malgré nos petits services rendus, ou encore pour le gouvernement qui n’a parfois que faire de nous, dont notre antagoniste, le Dr. Robotnik.
Robotnik est bien-sûr un agent du gouvernement, arrogant, prétentieux, sans scrupule et n’ayant d’affection que pour les machines qu’il crée, mais qui est surprenament, proche de Sonic mentalement. Sonic, étant jeune et cherchant du contact humain, Robotnik, par quelques dialogues, on comprend qu’il était aussi ce même jeune gamin, pourchassé et seul. Son orphelinat, ses voyous d’école, et même son perfectionnisme, l’ont mené l’a où il est, un homme isolé, qui n’a que faire de l’humain et que seul les machines peuvent apporter quelconque efficacité dans notre monde selon lui, vu qu’elles possèdent théoriquement moins de bugs que nous. Un perdu dans sa propre tête qui a tout de même réussi à perfectionner et créer sa technologie et la rendre utile au gouvernement américain.
C’est un homme ayant grandi comme orphelin assoiffé d’adrénaline et de recherche dans sa passion, et comme le hérisson, sa passion pour la science l’a mené dans sa jeunesse à subir le malheur des autres. En fait, Robotnik est un peu un Sonic inversé, et il voit en le hérisson, l’enfant qu’il aurait aimé être. Et il y a toujours un côté de cet enfant qui vit en lui malgré tout, avec ses danses et son altitude. Mais pour Robotnik, si lui il n’a pas pu avoir une vie plus joyeuse et de la reconnaissance, personne n’en aura, et ce n’est pas lui qui commencera à en donner. Il n’a aucun respect pour personne, même ses supérieurs militaires, ou les policiers. Il n’a aucun problème à abuser des droits qui lui ont été confiés, des lois du pays pour obtenir ce qu’il veut, allant même jusqu’à détruire des propriétés, et même tuer quiconque se mettant dans son chemin, n’a aucune considération pour quoi que ce soit, quelconque dommage collatéral que ce soit à San Francisco ou sur une des Sept Merveilles du Monde, et s’il avait usage de grands pouvoirs, il s’en servirait clairement de façon malicieuse et détruire tout sur son passage.
Là où Robotnik a tout pour lui et a échoué dans sa vie et se refoule dans son échec, Sonic n’a rien et arrive à réussir par sa joie de vivre. Sonic, lui, a connu l’amour maternel, être cher à quelqu’un, et il a bien son pouvoir d’hyper vitesse, mais il ne l’embrasse pas, celui-ci étant la raison de sa solitude, en plus de son apparence physique (C’est un hérisson qui parle, quoi). Et une fois que le savant fou possède le pouvoir de son ennemi, pour une fois, Sonic a son égal, un être humain allant à sa même vitesse, sauf qu’il s’avère que cette autre personne n’est pas du tout quelqu’un de bien. Robotnik a pourtant tout, alors que Sonic n’a rien, et sans divulguer, au final, Robotnik reçoit ce qu’il désire au fond de lui-même, la paix, être seul au milieu de Champignons…
C’est incroyable à quel point le film utilise la simple notion de déplacement, physique ou intérieur comme moteur, comme s’il s’était conçu à partir de la simple idée d’appuyer sur le bouton Droite dans un jeu vidéo, le déplacement du personnage et de ce que ça signifie. Se déplacer physiquement ou mentalement pour être et trouver ce qu’on est. Malgré la présentation un peu clichée de l’importance de l’amitié et du bon entourage, on a là un bon moteur scénaristique mené par des personnages attachants.
Malgré toutes ces qualités, le film s’avère loin, très loin d’être parfait. Un peu parce que malgré les personnages et leur développement, le scénario en lui-même ne sort pas des sentiers battus et le reste du film finit par trop ressembler à n’importe quel film américain enfantin qu’on ne le distingue finalement que très peu de la masse. Et on ne va pas se mentir, on aurait préféré un film complètement dans l’univers de Sonic, avec les personnages de Sonic, plus fidèle aux jeux vidéo qu’un film hollywoodien qui ressemble plus à un prologue avec Sonic qu’à un vrai film Sonic.
Même si on a mentionné que la structure plus road-trip hollywoodien du film était justifiée par son personnage principal et sa perspective, cela ne change pas le fait que le film possède tout de même multiples accros dont un montage un peu trop rapide avec quelques faux raccords visibles, des effets visuels réussis mais parfois un peu trop remarqués, et surtout un manque d’identité propre.
Que ce soit à l’extérieur, dans un bar, dans une maison dans la ville ou surtout en voiture, la mise en scène de ce film ne fait absolument rien de particulier, pas grand-chose qui pourrait permettre un meilleur habillage, une certaine redécouverte de ces lieux qui sont aujourd’hui trop connus dans le cinéma. Rien qui vient enrichir l’histoire plus que ça. On a droit tout de même à des moments plutôt inventifs et colorés, surtout dans le monde de Sonic au début, et avec Robotnik, mais encore une fois, pas plus que ça. Et cette modestie dans la mise en scène s’applique aussi quand l’action est en jeu. On a beau voir ces explosions et Sonic courir très vite, mais on ne le ressent que trop peu. Oui, bien sûr, nous avons droit à une bonne course poursuite entre Sonic et son ennemi Robotnik, les deux grands enfants qui enfin se confrontent, mais hélas c’est à ce moment que le film s’achève, juste après avoir vu Sonic ressembler à Sonic. Tout cela probablement parce que le film cherchait plus à faire un truc léger, trop léger pour Sonic, plutôt qu’un blockbuster.
Et c’est sans oublier d’autres moments semblant obligatoires dans des films pour enfants hollywoodiens qu’on aurait pu bien se passer, comme Sonic qui pète et qui fait un floss (danse de Fortnite) deux fois. Encore une fois, je comprends que c’est dans le caractère du personnage, mais même là, je ne crois pas que cela vienne vraiment du personnage lui-même ou du conteur de l’histoire mais plus de producteurs derrière lui qui lui soufflent à l’oreille ce qu’ils croient être bon. Sans oublier les autres personnages comme le bras-droit de Robotnik, Agent Duroc, la belle-sœur et les collègues de Tom qui semblent tout droit sortis de n’importe quelle comédie plutôt que d’être de vrais personnages.
D’ailleurs, si Tom Wachowski est recherché et considéré comme un fugitif par les États-Unis vers le milieu du film, pourquoi il n’y a pas plus de moyens utilisés pour le retrouver ? Oui, on a toujours Robotnik et ses machines, mais l’armée ne devrait-elle pas intervenir ? Il devrait y avoir des hélicoptères, des véhicules de patrouilles, et plus de machines de Robotnik. Je peux comprendre que celui-ci n’a pas voulu faire appel à l’armée pour ne pas faire de mal à son égo ou à ses bébés, malgré son gros camion (Poursuite à la Sonic Adventure 2 ?) … ou que le budget n’a sûrement pas pu le permettre, mais c’est dommage et ça nuit légèrement à la crédibilité du récit.
Parlant de récit, un aspect des jeux qui malheureusement ne se retrouve pas dans le film malgré son intérêt narratif, est le fait que Robotnik capture des petits animaux pour s’en servir comme moteur, comme batterie organique pour ses machines. Malheureusement, cet aspect du jeu disparaît dans le film, alors que pourtant, cela aurait pu être un peu plus approfondi. Comme on peut voir, la première « personne » avec qui Sonic interagit, c’est une tortue, un petit animal. Imaginez cela, les seuls amis de Sonic sont des petites bêtes qui ne peuvent lui répondre. Mais petit à petit, les animaux disparaissent sans raison. Et Sonic, découvrant qu’ils sont utilisés comme moteur pour les machines de Robotnik, cela permettrait d’avoir une relation héros-vilain plus intéressante et une raison de plus de contrer Robotnik. Et même, ça les aurait rapprochés psychologiquement, étant donné que les deux ont pour seuls amis des créatures qui ne parlent pas : Sonic, les animaux, et Robotnik, ses robots. Ça n’aurait peut-être pas changer la structure du film, mais ça aurait apporter un peu plus de matière.
Malgré ces défauts, Sonic : Le film s’avère bien sympatoche grâce à la façon dont il développe ses personnages, comment il traite et explore son histoire, et sa passion pour l’univers qu’il adapte malgré la structure hollywoodienne trop familière. Ça ne révolutionne pas du tout le cinéma, et c’est loin d’être parfait, ça cabotine un peu, mais ce film a du cœur, il sait ce qu’il fait et le fait bien sans trop de soucis. Et en termes de films tirés de jeux vidéo, c’est déjà une coche au-dessus de la moyenne, moyenne qui est très basse. Là où plusieurs adaptations du passé comme Street Fighter ou Super Mario Bros. avaient tendance à nous jeter tout et n’importe quoi par-dessus la tête, Sonic le Hérisson est un peu trop typique, mais construit son monde autour de son personnage et crée une histoire autour de l'idée même du jeu, et cette simplicité joue en sa faveur.
On sent en ce film un réalisateur qui au départ du tournage, n’était là que pour obéir à un gros studio, un gros studio hollywoodien qui n’y connaissait rien ni en jeu vidéo, ni en film pour enfants. Mais quand les fans ont exprimé leur mécontentement envers ce qu’on faisait avec Sonic, qui est quand même une icône du jeu vidéo, ce réalisateur s’est rendu compte ce qui se passait, et qu’il était bel et bien là pour raconter une histoire et pas pour être qu’un simple yes man interchangeable. Donc il s’est repris en main, a promis des changements et s’est donné à fond pour rendre honneur au jeu vidéo tant apprécié du mieux qu’il a pu avec ce qu’il avait avant qu’il ne soit trop tard. Et il a réussi à offrir un film qui hélas, tombe dans certains clichés hollywoodiens dont on se serait passer, mais qui arrive tout de même à raconter une bonne histoire tirée de l’univers de Sonic, malgré quelques maladresses de débutant.
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le 9 janv. 2023
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