Sans surprise, SPL 2 n'a rien à voir avec le premier opus, sinon dans sa volonté de lier par le jeu du destin des personnages très éloignés les uns des autres. Tony Jaa, Wu Jing, et un Louis Koo perruqués s'affrontent entre Hong-Kong et la Thaïlande pour sauver leurs proches, et tant pis s'ils doivent briser des têtes et des genoux au passage. Car oui, SPL 2 est toujours aussi burné niveau scènes de castagne, avec des plans-séquences ambitieux, des chorégraphies douloureuses et un mélange de styles martiaux jouissif, qui font oublier le côté invraisemblable et inutilement complexe de l'intrigue.