Splinter ne fait peur même s'il est vrai que le suspens y est assez bien mené. Le film vaut surtout (et uniquement ?) pour son "parasite" dont le design rappelle forcément le travail de Rob Bottin, difficile de ne pas y voir un hommage, et qui s'avère quand même assez mémorable. Le reste n'est pas folichon, la faute à des personnages antipathiques (Paulo Costanzo est même une sacrée tête à claques !) et à un déroulement très prévisible. Pas mal donc, mais dans le genre huit clos horrifique sorti à la même période, j'avais largement préféré The Ruins, par exemple.