Le premier se présentait comme une épopée spatiale. Pas le second.
Le premier était un excellent divertissement qui ne se prenait pas au sérieux et qui, parfois, laissait filtrer quelques gouttes de second degré. Pas le second.
Le premier proposait des scènes d’actions spectaculaires, intervenant au bon moment. Pas le second.
Le premier avait fait le choix de ne pas regorger de longs dialogues pompeux et grandiloquents. Pas le second.
Le premier racontait une histoire compréhensible et agréable à suivre. Pas le second.
Le premier avait échappé à la 3D. Pas le second.
Le premier avait été une bonne surprise. Pas le second...
Le premier méritait que l’on s’y attarde. Pas le second.