Le blockbuster ultime, voila comment on nous a vendu le dernier Star Trek Into The Darkness réalisé

Star Trek : into the darkness… En attendant Star Wars Episode VII

Le blockbuster ultime, voila comment on nous a vendu le dernier Star Trek Into The Darkness réalisé par le maître de l’entertainment, j’ai nommé : J.J. Abrams. je suis allé voir Into the Darkness et je dois dire que j’en ai eu pour mon argent, malgré un soupçon de déception.

Au casting, on retrouve : Chris Pine, Alice Eve, Zachary Quinto, Simon Pegg. On ne change pas une équipe qui gagne et surtout on y rajoute un petit nouveau : Benedict Cumberbatch en grand méchant du film.

Pour la petite histoire, je reprends Allociné : Alors qu’il rentre à sa base, l’équipage de l’Enterprise doit faire face à des forces terroristes implacables au sein même de son organisation. L’ennemi a fait exploser la flotte et tout ce qu’elle représentait, plongeant notre monde dans le chaos… Dans un monde en guerre, le Capitaine Kirk, animé par la vengeance, se lance dans une véritable chasse à l’homme, pour neutraliser celui qui représente à lui seul une arme de destruction massive. Nos héros entrent dans un jeu d’échecs mortel. L’amour sera menacé, des amitiés seront brisées et des sacrifices devront être faits dans la seule famille qu’il reste à Kirk : son équipe.

Du lourd en perspective. La bande annonce n’est pas trompeuse. Il y a tout dans ce film : du complot, de la trahison, de la vengeance, de l’amitié, de l’amour… Le cocktail est bien rodé. Tout est fait pour qu’on retienne son souffle jusqu’à la dernière minute… Un peu trop peut être ? Tout tombe un peu trop à pic, mais qu’à cela ne tienne ! On aime ça. Et de toutes façons ça va tellement vite qu’on n’a pas le temps de se poser des questions quant à la crédibilité de l’affaire.

Les effets spéciaux sont au poil. La réalisation est sans faute. L’humour et la pointe d’auto dérision qui faisaient toute la saveur du premier épisode sont toujours là. C’est tout cela qui fait de Star Trek Into the Darkness une réussite.

Seul déception : le manque d’une petite touche épique. Comme dans le premier : pas à de grosses batailles spatiale. On se rappelle avec délice la première scène du premier opus, quand le vaisseau du père de Kirk affrontait Nero. Depuis plus rien. Et pour cause : on n’est pas dans Star Wars. J.J. Abrams reste fidèle à l’esprit de la saga : de l’aventure et de l’action mais pas de bataille rangée de vaisseaux. Pas de frustration pour le réalisateur qui sait très bien que bientôt il planchera sur Star Wars VII. Chaque chose en son temps donc !

J’aimerais finir cette critique par la petite trouvaille de Star Trek Into the Darkness : son méchant, incarné avec Brio par Benedict Cumberbatch. Une voix grave et monocorde, un long manteau noir… C’est la pointe du méchant charismatique. Un peu trop charismatique d’ailleurs car il souligne la fadeur du personnage de Kirk… la faute à un Chris Pine toujours aussi insipide…

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