Poussière d'étoiles.

Bon ben Starwars épisode IX, c'est tout de même un gros film mal fichu.
Il fait avec ce qu'il peut pour essayer de sauver les meubles d'une trilogie qui aurait sans doute gagné à être pensée dans son intégralité dés le départ. Là, on a un résultat qui manque de cohérence entre les différents films.
Cette trilogie est par certains aspects scénaristiques pire que la prélogie (combien de Deus- Ex-Machina sur le film? Trois ou quatre au moins) qui avait au moins pour elle un peu plus d'ambition à ce niveau.
Reste des visuels souvent réussis, et des acteurs qui même s'ils ne sont pas utilisés à leur plein potentiel, délivrent tout de même des performances correctes (faut dire que dans la prélogie, l'incapacité de George Lucas à diriger ses acteurs était légendaire).
Je vais pas détailler pour ne pas trop divulgâcher, mais entre les 1000 trucs introduits dans l'urgence pour essayer de clôturer ce bordel et qui sonnent beaucoup trop comme un aveu d'impuissance (et de désespoir) de la part de l'équipe, les tours de passe-passe digne de Garcimore à coup de dyade de la force sortie de nulle part, les révélations à deux balles auxquelles on s'attendait pas du tout dis donc, et les retournements de situations et d'allégeances digne d'un Batman V Superman ( même si sa maman s'appelle pas Martha), il y a moyen de se foutre de la gueule du film bien comme il faut.

Ce Starwars: The Rise of Skywalker s'avère être une déception sur de trop nombreux points, et qui se renforce au fur et à mesure que je repense au film. Je vais donc rentrer en méditation pour ne plus y penser et essayer d'envoyer mon esprit dans une galaxie meilleure, une galaxie très très lointaine du présent récit.