Au vu des pinkus kango, il est loisible de penser que tous patients viennent se faire soigner des problèmes d’érection et que l’ensemble du personnel hospitalier est en rut permanent. Si bien que nombre de ces films peinent à sortir de la grosse farce qui tâche avec des personnages caricaturaux. Hidehiro Ito qui nous avait habitués à mieux n’échappe guère au piège du sous-genre. Seule, l’interprétation tout en finesse (et ce n’est pas simple) de Mina Asami (8 films dont « Female Prisoner: Cage ») arrive à sauver le film sur la fin. Le chef d’œuvre des pinku kango n’est pas encore là.