Scénario atrophié, stéréotypes en pagaille, seule la B.O et quelques chorégraphies sauvent le reste
Premier long-métrage Britannique (de notre époque) à être réalisé en 3D Reliefs, StreetDance (2010) part à la rencontre d'un groupe de jeunes street-dancers qui doivent apprendre une chorégraphie avec un autre groupe de danseurs, du même âge qu'eux, à la seule différence qu'ils sont snobinards, coincés et en collant ! Des danseurs de ballet devant s'entraîner sans relâche avec leurs opposés (jogging, casquette, basket, ...), du courage ils leur en faudra ! C'est sur cette trame aussi futile et remplie de clichés que repose le film, destiné aux adolescents et autres amateurs de hip-hop. Scénario atrophié, stéréotypes en pagaille, seule la B.O et quelques chorégraphies sauvent le reste, ainsi que le charme de Nichola Burley. Quant à la 3D Reliefs, argument marketing trompeur car elle ne sert strictement à rien ici, sauf à de très très rares moments. Au final, même sans les lunettes actives 3D, le film peut se regarder sans problème.
(critique publiée en 2010)
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