Show must go home
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Ce film a reçu le Grand Pélican Award des Purges de 2016 ainsi que la Mention DMNE (demi-molle non exploitable) décerné à Margot Robbie dans son rôle du mini-short
Le reste de la sélection est à retrouver ici
"A la fois court sans jamais être vulgaire, à la fois doux pour la rétine sans être tape à l’œil."
- Un membre du Pélican Ciné Club
Unanimement conquis par la déesse australienne du moment, c'est avec émotion que nous nous retrouvâmes pour apprécier ce joli minois du bush au cinéma (sans profiter du cinéday Orange, oui monsieur, ça c'est bonhomme!).
Dès les premières saccades du film (le mot "saccade" remplace le mot "séquence" ou "scène" pour des raisons évidentes NDMM), il se trémousse devant nous, comme s'il voulait que l'on croque dedans à pleine dents.
En effet, le décrochage de mâchoire garanti devant un tel cul grâce à la 3D est tout de même prodigieux, bien que dans sa globalité, cette dernière soit au film ce que le cancer colo-rectal est à ton papy : une infamie.
La scène du presque-twerk en gros plan à la sortie de l'ascenseur passée, c'est avec sérénité et quiétude que nous pouvons laisser notre esprit quitter notre corps.
Et surtout, ne plus nous concentrer sur ce qui nous est proposé à l'écran, enchevêtrement de saccades sans but ni respect pour le matériau d'origine qui ne mérite même pas d'être critiqué tant les visions de ce mini-short englobant ce fessier divin sont salvatrices en comparaison.
Un beau moment de remuage de petit boule, un film affreux, purge de l'année à l'unanimité.
Cet utilisateur l'a également ajouté à sa liste Top Purge 2016
Créée
le 9 déc. 2016
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