Je m’attendais à un film vrai, alors qu’en fait, c’est un genre de Lalaland du pauvre. Enfin, la première partie de Lalaland, celle bien cucul…
Alors voilà, c’est des gens, ils slament tout le temps. Dans la rue, dans le bus, dans leur cuisine....
Ils slament pour dire bien haut, que le monde entier soit au courant, à quel point c’est dur la vie à Los Angeles quand ton marchand de hamburgers est remplacé par un machin bobo-végan à la con.
Ils slament pour dire que la tolérance et la bienveillance envers les LGBT c’est mieux que la haine.
Ils slament pour dire que le succès, c’est pas si génial en fait, et que même les déplacements en limousine de 12 mètres, on finit par s’en lasser.
Ils slament pour dire que les ruptures amoureuses, c’est pas facile, et même des fois ça peut faire mal.
Et c’est la fin du film.