Superargo contre Diabolikus par Alligator
Nanar italo espagnol venu du fond des âges, ce Superargo joue de maladresse, de manque de talent et d'imagination. Tout y est d'une nullité presque touchante, si ce n'est qu'elle ennuie relativement vite. Le peu de rebondissement et la pauvreté du scénar coupe court à d'éventuels plaisirs coupables de moquerie, en effet trop peu de surenchère dans le grotesque pour faire risette longtemps. N'empêche que la combinaison du super-héros, aussi bien que les séances de torture ridicules valent au moins un court coup d'oeil.