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Petite fantaisie d'artiste
Catherine Hessling : Lillian Gish pervertie par Renoir le satyre.
le 11 janv. 2012
3 j'aime
5
En pleine danse fiction
Un court plein de grâce, un morceau de SF surréaliste, 2028 vu depuis 1926.
La tour Eiffel pique du nez, les aéronefs sont ronds, les cartes du monde sont sur des rouleaux, on avait pas encore imaginé le sans fil, et seule l'Afrique semble civilisée.
Bon, puis y a Catherine Hessling, la sauvageonne parisienne, au corps lascif, aux poses alanguies, suintant d'un érotisme trouble, dont la pellicule aux effets de surexposition propres à l'époque donnent l'illusion d'une nudité intermittente confondante. Le tout au milieu de ruines post-apocalyptiques absolument sympathiques.
Une question me hante désormais: qu'avait donc l'habitude de faire cette sauvage avec son singe, dans la colonne Maurice, avant l'arrivée du lointain explorateur ?
Ecourté de cinq minutes, nous tenions un petit chef d'œuvre.
(merci Hélice)
La tour Eiffel pique du nez, les aéronefs sont ronds, les cartes du monde sont sur des rouleaux, on avait pas encore imaginé le sans fil, et seule l'Afrique semble civilisée.
Bon, puis y a Catherine Hessling, la sauvageonne parisienne, au corps lascif, aux poses alanguies, suintant d'un érotisme trouble, dont la pellicule aux effets de surexposition propres à l'époque donnent l'illusion d'une nudité intermittente confondante. Le tout au milieu de ruines post-apocalyptiques absolument sympathiques.
Une question me hante désormais: qu'avait donc l'habitude de faire cette sauvage avec son singe, dans la colonne Maurice, avant l'arrivée du lointain explorateur ?
Ecourté de cinq minutes, nous tenions un petit chef d'œuvre.
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le 11 mars 2012
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