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Trainsmissing
Putain, déjà 21 ans. 21 ans déjà que les junkies Renton, Spud, Sick Boy et le violent Begbie ont sillonné, Iggy Pop dans les oreilles, une Ecosse industrialisée à outrance par le biais d'un film...
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le 1 mars 2017
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Tous les cinéphiles attentaient ce film au tournant. Alors que l'idée d'une suite était casse gueule, chaque nouvelle apparition des personnages emblématiques est un moment délicieux à découvrir sous les yeux de McGregor. La narration joue de ces découvertes (rancœur, pardon, amitié ?), de la nostalgie et du temps qui passe. McGregor est un touriste dans sa propre jeunesse.
Mais c'est le personnage de Spud qui sort du lot. Il y a une scène pleine de spleen qui m'a touchée, dans laquelle on peut entendre une musique remixée de Born Slippy version lente.
L'ost est géniale et finalement on passe un moment plein de réminiscences, de clins d’œil, sans que l'histoire soit pour autant fixée sur le passé. On est content de savoir ce que la bande est devenue. Le film utilise à merveille cette curiosité chez le spectateur (avoir vu le 1er avant est donc un plus, mais ce n'est pas indispensable.)
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le 14 juin 2017
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